Aller au contenu

Je (dé)livre mon ennemi intime.

Je ne sacrifie pas mon travail au maniérisme qui domine.

Le Caravagisme où je puise mon inspiration pour rendre le corps des personnages plus pesant et bestial, le bourreau plus humain et inquiétant, n’y est pas invité. C’est le Clair Obscur qui donne pesanteur et cruauté aux thèmes et aux compositions que je réalise (au sens de réalité, je ne dé-réalise pas les images, il n’y a aucune poésie maniérée).