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Bénis la poupée, ô mon âme ; Poupée, tu es si grande ! Revêtue de magnificence, tu as pour manteau la lumière ! Comme une tenture, tu déploies les cieux, tu élèves dans leurs eaux tes demeures ; des nuées, tu te fais un char, tu t’avances sur les ailes du vent ; tu prends les vents pour messagers, pour serviteurs, les flammes des éclairs.